« Manterrupting » : quand les hommes ne peuvent s’empêcher d’interrompre les femmes
Un chercheur américain a remarqué la tendance qu’ont les hommes à couper la parole aux femmes. Ce phénomène est caractérisé par les concepts de « manterrupting » et « mansplaining ».
La parité salariale entre hommes et femmes, mythe ou réalité?
L’étude Glassdoor a prouvé que les entreprises doivent être plus transparentes sur leur politique salariale et garantir qu’aucun écart de salaire homme-femme n’est toléré en leur sein
Rio 2016 – de l’exclusion à la mixité des épreuves, une histoire des femmes aux JO
En 1912, Pierre de Coubertin, père des Jeux olympiques modernes estimait que la compétition constituait « l’exaltation de l’athlétisme mâle avec […] l’applaudissement féminin pour récompense »…
Le sexisme, une fatalité? Des micros-trottoirs édifiants!
Extrait de la campagne « #Sexisme pas notre genre » lancée par le Gouvernement et les associations de défense des droits des femmes.
Elle démonte les stéréotypes de genre à travers un webdoc passionnant!
Dans L’École du genre, le webdoc qu’elle a coréalisé, Léa Domenach nous balade dans les différentes étapes de notre vie en déconstruisant tous les stéréotypes de genre. Rencontre […]
Qui a inventé l’inégalité des sexes?
Comment cette hiérarchie a-t-elle pu s’enraciner dans la majorité des cultures? Deux ouvrages racontent l’histoire de la domination masculine […]
Mais pourquoi les femmes sont-elles plus petites que les hommes ?
C’est un constat universel et banal. Mais en 52 minutes, un documentaire diffusé dernièrement sur Arte permet de bousculer quelques idées reçues.
Il n’y a jamais eu de femmes au programme du Bac L.
Dans cette épreuve où les auteurs de tous les siècles sont en compétition, les femmes n’auraient jamais été lauréates.
Des stéréotypes de genre plaqués jusque sur les cris de bébés.
Des chercheurs français ont démontré que les adultes ont tendance à considérer que les nourrissons de sexe féminin produisent des pleurs plus aigus que les garçons. A tort.
« Trop de masse grasse, trop d’émotivité », quand le marathon était interdit aux femmes.
Nous sommes en 1967 et à cette époque, les femmes n’ont pas droit de cité dans les courses longues distances. Les médecins l’affirment : « trop de masse grasse, trop d’émotivité» chez elles.